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ANALYSE DE LA COLERE DES MILITAIRES PAR LE GENERAL DIDIER TAUZIN ET SUR LES POLICIERS-GENDARMES DEVENUS CIBLES VIVANTES
du 1 au 3 juin 2021 :
Vous avez été très nombreux à me parler de la ''Tribune des Militaires'' et à vous étonner de l'absence au bas de la feuille de la signature du Général Didier Tauzin (son interview de juin 2020 -onglet reportages- a battu tous les records: plus de 600.000 vues en un an) alors qu'il a été l'un des premiers à dénoncer la situation tragique dans laquelle se trouve la France actuellement. Interview d'actualité donc puisque à peine deux jours plus tard, des gendarmes ont été attaqués une nouvelle fois par un cinglé islamiste, ajoutant une Ne couche de nervosité au gouvernement d'Emmanuel Macron. Comme vous allez le découvrir, la situation est simple: si "rien" n'est fait, la France sera musulmane d'ici 50 ans environ!

Cependant, ajoutons quand même que la situation des banques est telle que, de toute manière, l'armée finira par prendre le pouvoir en France (je l'ai dit ici et maintes fois à la radio I&M depuis 2010) pas par un Coup d'Etat, mais bien parce que la situation échappera aux politiques qui finiront par... s'enfuir face à la colère et au désespoir du peuple. C'est l'une des raisons pour laquelle je suis (suivre) de très près les mouvements d'humeur des militaires.

PS: vous verrez aussi que Israel a joué un sale jeu au Rwanda et qu'il a du sang sur les mains, au même titre que Washington et Londres.



Pierre Jovanovic: Le gouvernement a été pris de court par «l'Appel des généraux» qui a fait énormément de bruit. Or vous n'avez pas signé cet appel. Pour quelles raisons? Les lecteurs qui ont lu votre interview de l'an passé aimeraient savoir pourquoi, et, surtout, est-ce que ces officiers vous avaient téléphoné pour vous demander de signer ?

Didier Tauzin: Non! Comme la plupart des gens, j'ai été mis devant le fait accompli et j'ai découvert cette tribune devant mon ordinateur. Les rédacteurs, dont certains me connaissent bien, savaient que je ne la signerais pas en l'état. J'ai, de plus, l'intime conviction, mais sans preuve, qu'il y a une manipulation derrière cette lettre. Les hypothèses les plus vraisemblables concernent le Rassemblement National et La République en Marche, mais il y en a d'autres. Peu importe!

Plus important à mes yeux est le fait que ce manifeste démontre que ses rédacteurs restent dans la culture du conflit permanent et de la division qui nous est imposée par le «système désastreux des partis». Dans le cas présent, ce sont les militaires et anciens militaires que l'on divise, et c'est très grave car les armées sont le dernier recours de la nation. Elles ont, aujourd'hui, 80% de popularité auprès des Français alors que les politiciens tournent autour des 20%; il faut donc préserver leur unité.

Il faudrait au contraire, tout en désignant le véritable responsable de la situation de la France, c'est-à-dire la tyrannie des partis politiques, avoir envers les Français un langage ferme et très clair, certes, mais rassembleur, apaisant et proposant des solutions pacifiques. Attiser les divisions ne peut qu'attiser les risques de guerre civile qui sont dénoncés.

P. J.: Vous pouvez développer ce point?

D. T.: Leur texte met le doigt sur la possibilité d'une guerre civile imminente, crainte éprouvée par beaucoup de Français. Il oublie de dire que cette guerre civile, tous les jours plus probable, n'est pas certaine. Je rappelle que le pire n'est certain que lorsqu'il se déroule. Jusqu'au dernier moment, si on veut l'éviter, on le peut, à condition d'avoir, aux postes stratégiques, des chefs décidés, dévoués à la nation, prêts au sacrifice personnel, ayant des convictions solides et une fermeté à toute épreuve.

De plus, la guerre civile n'est pas le pire qui puisse se produire. Une guerre civile, on peut en sortir, puis reconstruire ensemble après le pardon donné. Il existe un risque bien plus important omis par cette tribune: le risque de la «mort lente» de la France, comme d'ailleurs de toute l'Europe.

Cette possible «mort lente» est induite par un processus combinant une natalité, bien trop faible dans les pays européens, en particulier la France et l'abandon des fondamentaux de notre civilisation, qui aboutit à l'islamisation progressive de notre continent, donc à la disparition de la France historique. Ce processus est voulu, alimenté et utilisé par les partis, leurs idéologies et les lobbies pour asseoir et perpétrer leur tyrannie.



P. J.: Guerre civile ou pas, c'est, in fine, l'arme de la natalité qui gagne la bataille , c'est bien cela?

D. T.: Si l'abandon de nos valeurs fondamentales est le phénomène essentiel de cette «mort lente», le différentiel de natalité entre la France et l'Europe d'une part, et les pays d'où viennent les migrants, d'autre part, en est à la fois la conséquence et l'accélérateur, qui rend la «mort lente» irréversible si on ne prend pas rapidement des mesures fortes.

En effet, l'Afrique Noire à elle seule va passer de 1,5 à 4 milliards d'habitants à la fin du siècle, sans parler du Moyen-Orient, du Proche-Orient, du Maghreb, etc. tandis que les populations de souche et de civilisation européennes déclinent.

En France par exemple, sauf reprise forte de la natalité, cette dernière catégorie de population va passer de 50 millions à 30 millions en fin de siècle, alors que l'immense majorité des migrants est musulmane, sachant que l'Islam n'est pas une religion, mais une idéologie de conquête du monde dont les premières victimes sont les musulmans eux-mêmes, ravalés au rang de moyens de conquête, aux dires même de journalistes et intellectuels musulmans de plus en plus nombreux.

Je le dis et le répète: avec la conjonction de ces phénomènes, à la fin de ce siècle, de notre siècle!!!, c'est à dire dans 80 ans, on parlera certes de la France avec admiration, mais au passé.

Pour éviter cette issue, il faut des mesures très fortes, en particulier une pause migratoire de longue durée et le rassemblement de tous dans la recherche d'une nouvelle unité nationale fondée sur la réaffirmation et la réappropriation de ce qui a fait la France. Car, n'oublions jamais que la France n'est pas qu'un territoire ou une race, elle est d'abord une culture bientôt deux fois millénaire qui s'abreuve à un fleuve de civilisation qui prend ses racines dans la Grèce Antique et dont le principal affluent est le christianisme...

P. J.: Donc ces officiers ont, selon vous, volontairement omis ce point capital?

D. T.: Volontairement, je ne crois pas! Mais leur tribune, non seulement ne va pas assez loin parce qu'elle omet la possible «mort lente» de la France, mais ses rédacteurs adoptent un comportement de politiciens en alimentant les tensions qu'ils savent déjà fortes dans le pays, donnant ainsi dans «l'air du temps». Dans cette situation potentiellement dangereuse, ce qui nous manque le plus ce sont des hommes politiques au sens noble et fort du terme.

Je compare ceux que l'on appelle aujourd'hui «hommes politiques» à des gamins se chamaillant dans une cour d'école, ou sur un tourniquet pour attraper la queue du Mickey, celle-ci étant la présidence de la République. Je comparerais ce comportement à celui d'officiers (je n'en ai pas connu) qui ne lésineraient pas à faire tuer des soldats juste pour avoir une décoration ou un galon de plus. La tribune donne dans ce travers !

P. J.: On a vu la manifestation des policiers voici quelques jours, ils sont totalement désemparés. Ils n'ont pas le droit de tirer, ni le droit de se défendre ou quasiment pas. Imaginons que vous êtes élu, que faites-vous avec les cités de «non-droit» où la police et les pompiers sont attaqués presque chaque jour, et avec des nouveaux morts dans les rangs de la police?

D. T.: Vous émettez l'hypothèse que je suis élu Président de la République, et vous me posez une question relevant aussi du ministre de l'intérieur. Je vous répondrai donc au niveau de réflexion et de décision du Président car, quand le colonel commandant le régiment fait le travail du capitaine, personne ne fait le boulot du colonel.

Tout d'abord, je prendrais une décision du seul ressort du Président: je proposerais au peuple souverain un référendum sur une pause migratoire radicale de 30 ans, assortie de la création d'une garde aux frontières solide; cette pause migratoire nous permettrait d'avoir les mains beaucoup plus libres pour régler les problèmes intérieurs. Concomitamment, je demanderais au 1er ministre :

1. De revoir radicalement la politique pénale dans un sens de simplification et de durcissement afin qu'elle serve vraiment au rétablissement et au maintien de la sécurité intérieure du pays.

2. De me proposer les mesures conjoncturelles permettant de faire changer la peur de camp, en adaptant les effectifs, les moyens et la formation des forces de sécurité intérieure à la situation actuelle, de revoir la présomption d'innocence du policier dès lors qu'il est amené à tuer, d'élargir la notion de légitime défense, etc.

3. De me proposer l'adaptation de notre système carcéral, en envisageant des structures adaptées à chaque niveau de délinquance, du mineur délinquant au multi-récidiviste. Par exemple, on peut envisager la construction de nouvelles prisons, de maisons de redressement, jusqu'à l'hypothèse de la restauration d'un «bagne» voire de la peine de mort notamment dans le cas de l'assassinat d'un membre des forces de l'ordre; ces deux dernières mesures pourraient faire l'objet d'un référendum.

4. Prendre les mesures nécessaires pour que la police ne soit plus instrumentalisée à des fins idéologiques par qui que ce soit, comme on l'a vu récemment lors de manifestations de Gilets Jaunes par exemple, traitées plus violemment que celles des Traoré ou celles de casseurs.

5. Me proposer un plan de rétablissement de l'ordre dans les zones à haut-risque, ce plan pouvant aller jusqu'à l'instauration de la loi martiale dans les zones dites de non-droit. Car il faut que la peur change de camp!

L'ensemble de ces mesures serait assorti à des recommandations très fortes à agir avec discernement car, tous ceux qui vivent en banlieues ou dans une zone de non-droit ne sont pas fautifs. Il faut distinguer les fauteurs de troubles de ceux qui, dans l'immense majorité, désirent vivre dans une France paisible et dont beaucoup seraient prêts à devenir complètement Français et même à quitter l'islam, si nous avions une politique adaptée. Car s'il est inadmissible qu'un policier soit tué chaque semaine, il ne l'est pas moins de conclure que toute personne de banlieue est coupable. Donc fermeté, très grande fermeté si nécessaire, ET discernement! Ces mesures, assorties à d'autres qui ne font pas l'objet de cette question, permettraient de relancer un nouveau processus d'unité nationale.



P. J.: Vous donnez plus de pouvoir à la police?

D. T.: Non, je lui rends sa place, je la conforte dans sa mission et dans sa vocation première, je lui rends l'honneur qui lui est aujourd'hui enlevé. Car la raison principale de la situation actuelle ne réside pas dans la police ou la justice, mais dans la politique pénale donc dans le gouvernement de la France.

P. J.: Le fait que la France ne fabrique plus ses armes, cela vous inspire quoi?

D. T.: Cela m'inspire que si on n'a plus de souveraineté militaire, on n'a plus de souveraineté du tout. En cas de problèmes graves, la France ne peut plus subvenir à ses besoins. Il faut rétablir une souveraineté militaire, ce qui ne peut pas se faire d'un trait de plume, il y faut du temps. Pour les armes, il nous faut des industries propres. Le chef de l'État doit dire au premier Ministre «Je veux que dans 5 ans nous fabriquions nos armes et nos munitions!». Non seulement il n'y a plus de souveraineté possible mais nous sommes à la merci complète des autres pays, comme nous le sommes déjà à l'égard des grands financiers...

Cela me conduit à préciser que, si nous voulons rétablir notre souveraineté, non-seulement militaire, mais également alimentaire, numérique, énergétique, diplomatique, etc. Il faut revoir les budgets affectés aux fonctions qui assurent cette souveraineté.

Aujourd'hui, 6% seulement de nos impôts sont affectés aux missions régaliennes, celles qui reviennent en propre à l'État et qu'il doit remplir parfaitement au service de la nation. 6%! Donc, 94% sont affectés à des missions qui peuvent être importantes mais pas nécessairement du ressort de l'État.

Il faut donc augmenter les budgets affectés aux missions régaliennes qui sont, je le rappelle, la sécurité extérieure, la sécurité intérieure, la justice, les relations internationales et la monnaie. Il faut aussi redéfinir notre mode de gouvernance en nous inspirant du principe de subsidiarité, qui libérerait l'État de fonctions qu'il peut confier à d'autres.

P. J.: A propos de ces quartiers de non-droit, dans le livre d'entretiens avec les deux journalistes du Monde, François Hollande a clairement parlé de la partition de la France. Autrement dit, un président de la République prêt à céder une partie du territoire à quelqu'un d'autre...

D. T.: François Hollande a eu raison d'écrire cela. Mais qu'a t-il fait pour l'éviter? Rien. Qu'a fait Sarkozy pour l'éviter? À part de parler Karcher? Rien. Qu'a fait Macron pour l'éviter? Rien, au contraire, ça ne fait qu'empirer. Ces gens ne sont là que pour leur carrière. Ils ne sont pas là pour la France. Malgré leurs belles paroles, ils ne font qu'utiliser la France pour leur carrière.

La raison d'être de tout chef, qu'il soit chef d'État, chef militaire, chef d'entreprise, c'est d'être au service de l'entité dont il a la responsabilité. Le chef de l'État doit être au service de la France. Quand il constate qu'il y a risque de partition, il doit agir.

Aujourd'hui, l'horizon d'un chef d'Etat c'est la prochaine élection. D'où l'idée que j'ai eue de revoir intégralement le mandat du président de la République tout en renforçant la souveraineté du peuple sur ce mandat. Je proposerais un référendum instituant un mandat à durée indéterminée.



En cela, je m'inspire tout simplement de ce qui est fait en entreprise: si le peuple veut garder le président pendant 30 ans, il doit pouvoir le faire car il est souverain; en revanche il doit pouvoir s'en séparer au bout de 3 ans s'il ne convient pas.

Si le référendum était voté, le Président de la République recevrait un mandat à durée indéterminée affecté, d'une part d'une limite d'âge, d'autre part d'un vote de confiance tous les sept ans qui, selon le résultat, lui permettrait de continuer son mandat ou l'obligerait à se retirer, enfin d'un référendum d'initiative populaire qui offrirait au peuple la possibilité de le démettre après 2 ou 3 ans de fonction.

Avec de telles modalités, le chef de l'État aurait du temps devant lui, et de voir les résultats de ses décisions. Surtout, ces modalités briseraient la tyrannie des partis politiques car le président ne doit dépendre que du peuple souverain, et pas d'un parti politique, ni d'une idéologie, ni d'une entreprise.

P. J.: Vous avez essayé de vous présenter au présidentielles voici 5 ans. Que s'est-il passé?

D. T.: Je me suis déclaré en septembre 2016 et nous avons cherché des parrainages sachant qu'à l'époque nous avions un maillage national complet. Bien sûr, c'était difficile car je n'étais pas dans le système classique et avais peu de moyens financiers. Puis, en janvier 2017, sont intervenus les déboires de François Fillon. Dans la même semaine, j'ai alors reçu l'appel de 5 députés républicains et socialistes (ne me demandez pas leurs noms) chacun me promettant 50 parrainages dans son département (maximum légal). Cela faisait 250 parrainages d'un seul coup... Et, sur les 5 députés, 2 m'ont textuellement demandé «Général, accepteriez-vous d'être le candidat ''hors parti'' qui affronterait Marine Le Pen au second tour?» J'ai répondu «Oui bien sûr!» Je savais qu'il y aurait des conditions.



Elles sont arrivées quelques jours après... je ne pouvais pas les accepter, car j'aurais eu les pieds et les mains liés. Je n'aurais pas été le représentant du peuple souverain, mais d'idéologues. Je n'ai donc pas eu mes parrainages.

P. J.: Et pour 2022?

D. T.: Je ne sais pas encore. J'ai déjà des promesses de parrainage et des Français ne cessent de rejoindre mon association politique «Rebâtir la France». La machine est lancée, mais je ne sais pas jusqu'où ça ira. A la grâce de Dieu!

J'ai fixé une date dans une lettre envoyée aux maires pour leur dire que, si j'ai bien les 500 parrainages le 31 décembre, je me présenterai, tout en leur précisant que je suis prêt à me retirer au profit d'une personne en qui j'aurais une totale confiance et qui aurait plus de chance que moi d'être élue, car ce qui importe est de relever la France et non d'obtenir une place.

P. J.: Je reviens sur ce que vous avez dit: vous auriez pu accepter les conditions et renverser la table après, comme l'avait fait Mitterrand avec les communistes... Non?

D. T.: La situation a beaucoup changé depuis Mitterrand, ce dont il est d'ailleurs l'un des principaux responsables! Elle est infiniment plus tendue qu'à l'époque et il vaut mieux avoir une conduite radicalement droite que d'utiliser des méthodes politiciennes comme il l'a fait. Il y a un vieux dicton français qui dit «on ne déjeune pas avec le diable.». L'attitude de Mitterrand, et de bien d'autres! est l'une des raisons de l'état de la France aujourd'hui. Mon objectif n'est pas d'avoir le pouvoir pour moi, mais au moins de sauver ce qui peut encore être sauvé, au mieux de rebâtir la France.

P. J.: Vous aviez déclaré, à propos du président Hollande que c'était «un mou». Comment voyez-vous l'action du président actuel? Ou bien définir Macron en un seul mot ou phrase comme vous l'aviez fait pour Hollande ?

D. T.: Il me semble très orgueilleux, ce qui est un grave défaut quand on est un dirigeant à ce niveau. Ce qui est clair en revanche, c'est qu'il n'est pas un politique et que, de plus, il n'a pas été préparé à devenir Président. Je crois vraiment que, comme ses prédécesseurs, il est au service d'idéologies et de puissances d'argent et, à son niveau, ça ne peut être totalement à son insu...

Aujourd'hui nous sommes dans une situation nationale et internationale proche de l'état de guerre. Donc il faut des hommes et des femmes qui ont déjà vécu des situations difficiles, des personnes de «terrain».

Les Français sont inquiets, très inquiets. Que voient-ils en face d'eux? Des démagogues, des gens qui connaissent mieux Shanghai ou Washington que la France, qui ne sortent de Paris que pour aller à Saint-Tropez et à Courchevel. J'exagère bien sûr, mais c'est grosso modo l'ambiance. Ils ne connaissent pas la France. Dans la situation d'aujourd'hui il faut connaître et aimer la France et les Français, ce qui n'est pas le cas de Macron.

P. J.: Dernière question: que pensez-vous de Macron qui va s'excuser au Rwanda ?

D. T.: Boutros-Botros Ghali, Secrétaire Général de l'ONU à l'époque a écrit: "les Américains sont les premiers responsables du génocide avec les Britanniques et les Israeliens, puisque Kagame était leur homme de main". Leur objectif, qui a été atteint, était de s'emparer des richesses des provinces zaïroises limitrophes du Rwanda. Aujourd'hui, si les Britanniques et les Américains ont pris leurs distances avec Kagame, seul Emmanuel Macron lui fait des courbettes et lui verse de l'argent! Même si désormais l'armée française a été mise hors de cause, comme Français je trouve ce comportement indigne, et je suggère à Emmanuel Macron de lire les travaux de Charles Onana. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2024
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